Ce document d’analyse examine la faisabilité et l’attrait de la transition – pour les travailleurs de professions susceptibles d’être affectées par l’automatisation – vers des professions à croissance rapide.
Faits saillants du document
Ce document d’analyse examine la faisabilité et l’attrait de la transition – pour les travailleurs de professions susceptibles d’être affectées par l’automatisation – vers des professions à croissance rapide, en particulier dans l’économie propre. Cette réorientation est définie comme un passage des professions à haut risque et faible mobilité (à HRFM) vers des professions à croissance rapide dans l’économie propre.
En premier lieu, nous recensons les industries vertes qui sont essentielles à la transition vers une économie propre. Puis, nous déterminons les professions vertes existantes et émergentes qui sont plus importantes pour les industries vertes que pour l’économie en général.
Nous établissons ensuite les principales différences entre les professions vertes et non vertes en nous appuyant sur un inventaire exhaustif des compétences, des connaissances requises et des salaires. Nous estimons également le facteur d’équivalence entre les années de formation et le niveau d’acquisition de compétences afin d’éclairer l’élaboration de programmes de recyclage.
Enfin, par l’entremise d’un sondage auprès de plus de 500 travailleurs canadiens et d’entrevues approfondies avec des associations industrielles, des représentants syndicaux et d’autres experts pertinents, nous nous penchons sur les facteurs humains qui influencent les transitions professionnelles, tels que le comportement et les préférences des travailleurs.
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