Régimes d’examen de l’investissement étranger: Comment se place le Canada

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Régimes d’examen de l’investissement étranger: Comment se place le Canada

Canadian International

Author: Andrea Mandel-Campbell

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Dans Foreign Investment Review Regimes: How Canada Stacks Up (dont le résumé est traduit sous le titre Régimes d’examen de l’investissement étranger : comment se place le Canada), on compare les politiques et les pratiques du Canada en matière de restriction des investissements étrangers à celles de pays analogues. D’après l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), au Canada, les obstacles réglementaires à l’investissement étranger figurent parmi les plus restrictifs au monde. Mais ce classement tient compte des restrictions explicites à l’investissement étranger, sans accorder d’importance aux barrières opaques comme les ingérences politiques et la nationalisation des entreprises. Lorsqu’on prend en considération les barrières implicites et explicites aux investissements directs étrangers (IDE), le Canada n’est pas plus restrictif que la France, l’Allemagne et l’Italie — qui semblent moins ouverts aux IDE que leur classement par l’OCDE ne le suggère. Bien que plus transparent, le régime canadien est un mélange bizarrement hybride de protectionnisme et d’ouverture qui semble envoyer des signaux contradictoires. Les décideurs doivent accroître la cohérence du régime d’examen de l’investissement étranger du Canada, sinon ils risquent de désavantager le Canada par rapport à ses concurrents qui, eux, ont des objectifs clairs en matière d’IDE. Ce rapport a été produit par le Centre du commerce et des investissements internationaux qui examine les conséquences à tirer de la dynamique économique mondiale pour les chefs d’entreprise et les dirigeants du secteur public au Canada. Apprenez davantage sur les travaux de recherche du Centre, ses activités et les façons d’y adhérer.

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Lorsqu’on compare le Canada à des pays analogues, on constate que ses pratiques en matière de restriction des investissements étrangers sont moins restrictives qu’on ne le pense généralement, mais elles sont aussi moins cohérentes. Le Canada doit adopter des politiques d’IDE plus claires et plus cohérentes.

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