Grâce au Fonds des générations, le Québec a réduit la proportion de sa dette nette par rapport au PIB. Il est aussi entré dans une ère de surplus et rien ne laisse présager un changement à court terme. Toutefois, le gouvernement fédéral, quant à lui, a stratégiquement opté pour le retour des déficits. Or, la lourde fiscalité québécoise ne permettrait pas d’augmenter les revenus au cas où il faudrait rembourser la dette?ou combler le déficit de l’État fédéral. Dans les circonstances, le Québec n’a pas intérêt à dévier de sa stratégie actuelle qui est de verser des sommes importantes au Fonds des générations.