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Saviez-vous que

… le Canada attire plus d’étudiants étrangers que les dimensions de son système éducatif ne le laisseraient supposer?

Dans quelle mesure le rendement scolaire du Canada soutient-il la comparaison?

Comparé à des pays semblables, le Canada obtient une note « A » dans la catégorie Éducation et compétences du bilan comparatif. Il se classe 2e derrière la Finlande. Il récolte des notes « A » et « B » sur 13 des 20 indicateurs. Seule la Finlande fait mieux que lui.

Comment mesure-t-on le rendement scolaire?

Le rendement scolaire est évalué à l’aide de 20 indicateurs selon trois niveaux de participation au marché du travail :

  • les participants de niveau élémentaire (personnes de faibles niveaux en lecture et écriture et en connaissances de base, qui sont souvent au chômage, manquent de stratégies d’adaptation et, lorsqu’elles travaillent, sont incapables d’exercer la plupart des emplois de manière compétente);
  • les participants du groupe le plus courant (personnes de moyens niveaux en lecture et écriture et dans leur qualification professionnelle particulière, qui ont habituellement un emploi dont elles s’acquittent avec suffisamment de compétence, mais qui risquent d’avoir de la difficulté à s’adapter aux changements en milieu de travail);
  • les participants de niveau avancé (personnes avec d’excellentes capacités en lecture et écriture et dans leur qualification professionnelle particulière, et douées d’une bonne capacité de raisonnement, ce qui les rend capables de s’adapter aux changements en milieu de travail, d’innover et de créer de nouveaux procédés, produits et services).

Deux indicateurs ont été retirés de notre dernier bilan comparatif du fait que les données ne sont plus mises à jour par l’OCDE – les proportions d’élèves et d’étudiants qui ont soit une bonne ou soit une faible capacité de résolution de problèmes. Sept nouveaux indicateurs ont été ajoutés cette année pour évaluer:

  • l’équité dans l’éducation;
  • l’attrait exercé par le système éducatif sur les étudiants étrangers;
  • la différence entre les accomplissements universitaires des hommes et des femmes;
  • l’éducation permanente;
  • la différence entre les notes obtenues en lecture par les élèves et étudiants qui parlent à la maison la même langue que le texte à lire, et ceux qui en parlent une autre langue;
  • les retombées financières d’un diplôme universitaire sur les hommes;
  • les retombées financières d’un diplôme universitaire sur les femmes.
Détails et analyses
Vous voulez en savoir plus?
Lisez les détails et l’analyse! (en anglais seulement)

 

Quels sont les points forts du Canada?

Les points forts du Canada résident dans la grande qualité des cours dispensés à des personnes de cinq à 19 ans et ce, en maintenant les dépenses à un niveau comparativement modeste. Pendant leur scolarité, les canadiens reçoivent un bon enseignement (la plupart d’entre eux) dans des matières essentielles telles que les mathématiques, la lecture et les sciences. Le Canada a maintenant, par rapport à des pays semblables, le deuxième taux le plus élevé de diplômés d’études secondaires et le taux le plus élevé de diplômés d’études collégiales.

Le Canada se classe également très bien sur deux nouveaux indicateurs ajoutés cette année : l’équité dans les résultats d’apprentissage, et le rendement des écoles désavantagées.

L’indicateur de l’équité dans les résultats d’apprentissage mesure l’écart entre les notes obtenues dans les épreuves de lecture par les élèves et étudiants nés canadiens, qui parlent à la maison la langue du texte à lire (c.–à–d. l’anglais ou le français), et les canadiens de deuxième génération, nés dans le pays, qui ne la parlent pas chez eux. Le Canada obtient un « A ». Il est classé deuxième, après l’Australie, mais l’écart entre les notes de lecture au Canada est de moins de la moitié de ce qu’il est chez le pays suivant, le Royaume–Uni.

L’indicateur du rendement des écoles désavantagées mesure la différence constatée dans les notes de l’épreuve de lecture entre les élèves de 15 ans des écoles les plus désavantagées et ceux des écoles les moins désavantagées. Au Canada, la différence est de 31 points – l’équivalent d’environ 10,3 mois d’enseignement. Ce résultat vaut au Canada une note « A » et la troisième place derrière la Norvège (13 points) et la Finlande (23 points).

Les pays dont l’écart entre les résultats d’apprentissage est faible sont considérés comme ayant des systèmes éducatifs plus équitables et efficients.

Quels sont les points faibles du Canada?

Le Canada a besoin d’améliorer la formation en milieu de travail et l’éducation permanente. Sa population adulte a des capacités médiocres en lecture ainsi qu’en écriture, et elle compte une forte proportion de personnes de faible niveau dans ce domaine pour pouvoir travailler. Le Canada obtient un « C » et se classe 10e sur 15 pays semblables pour l’indicateur mesurant la participation des adultes à l’éducation non formelle liée à l’emploi.

Le Canada n’est pas non plus aussi performant qu’il devrait l’être en ce qui concerne les compétences de très haut niveau. Il compte relativement peu de titulaires de doctorats et de diplômés en mathématiques, sciences, informatique et génie. Avec un plus grand nombre de diplômés extrêmement qualifiés dans ces domaines, il pourrait s’améliorer sur le plan de l’innovation et de la productivité – et, en fin de compte, offrir à tous les canadiens une qualité de vie supérieure et durable.

Cette place « en milieu de peloton » du Canada pour son taux de réussite dans les études universitaires pourrait être le signe que le rendement financier de son investissement dans l’enseignement universitaire en est, tout au plus, au même point. Beaucoup d’autres pays (et leurs habitants) obtiennent de bien meilleurs rendements pour leurs investissements dans le troisième cycle.

Bien que le bilan comparatif l’ait ignoré à cause du manque de données et de problèmes de mesure, il y a, au Canada, un « obstacle lié à la reconnaissance de l’apprentissage ». Cela veut dire que certaines personnes ont parfois des connaissances et des compétences non officiellement reconnues (faute de diplôme universitaire ou de certificat d’école de métier, de brevet professionnel ou autre) par les employeurs ou les établissements qui attribuent des titres de compétence. Les personnes qui ont, antérieurement, fait leur apprentissage par le travail et la formation se heurtent, elles aussi, au manque de reconnaissance de leurs acquis, tout comme celles qui passent d’un établissement secondaire à un autre ou, dans le cas des professions pour lesquelles il faut un permis de pratique, d’une province à une autre.

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… le Canada attire plus d’étudiants étrangers que les dimensions de son système éducatif ne le laisseraient supposer?

Dans quelle mesure le rendement scolaire du Canada soutient-il la comparaison?

Comparé à des pays semblables, le Canada obtient une note « A » dans la catégorie Éducation et compétences du bilan comparatif. Il se classe 2e derrière la Finlande. Il récolte des notes « A » et « B » sur 13 des 20 indicateurs. Seule la Finlande fait mieux que lui.

Comment mesure-t-on le rendement scolaire?

Le rendement scolaire est évalué à l’aide de 20 indicateurs selon trois niveaux de participation au marché du travail :

  • les participants de niveau élémentaire (personnes de faibles niveaux en lecture et écriture et en connaissances de base, qui sont souvent au chômage, manquent de stratégies d’adaptation et, lorsqu’elles travaillent, sont incapables d’exercer la plupart des emplois de manière compétente);
  • les participants du groupe le plus courant (personnes de moyens niveaux en lecture et écriture et dans leur qualification professionnelle particulière, qui ont habituellement un emploi dont elles s’acquittent avec suffisamment de compétence, mais qui risquent d’avoir de la difficulté à s’adapter aux changements en milieu de travail);
  • les participants de niveau avancé (personnes avec d’excellentes capacités en lecture et écriture et dans leur qualification professionnelle particulière, et douées d’une bonne capacité de raisonnement, ce qui les rend capables de s’adapter aux changements en milieu de travail, d’innover et de créer de nouveaux procédés, produits et services).

Deux indicateurs ont été retirés de notre dernier bilan comparatif du fait que les données ne sont plus mises à jour par l’OCDE – les proportions d’élèves et d’étudiants qui ont soit une bonne ou soit une faible capacité de résolution de problèmes. Sept nouveaux indicateurs ont été ajoutés cette année pour évaluer:

  • l’équité dans l’éducation;
  • l’attrait exercé par le système éducatif sur les étudiants étrangers;
  • la différence entre les accomplissements universitaires des hommes et des femmes;
  • l’éducation permanente;
  • la différence entre les notes obtenues en lecture par les élèves et étudiants qui parlent à la maison la même langue que le texte à lire, et ceux qui en parlent une autre langue;
  • les retombées financières d’un diplôme universitaire sur les hommes;
  • les retombées financières d’un diplôme universitaire sur les femmes.
Détails et analyses
Vous voulez en savoir plus?
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Quels sont les points forts du Canada?

Les points forts du Canada résident dans la grande qualité des cours dispensés à des personnes de cinq à 19 ans et ce, en maintenant les dépenses à un niveau comparativement modeste. Pendant leur scolarité, les canadiens reçoivent un bon enseignement (la plupart d’entre eux) dans des matières essentielles telles que les mathématiques, la lecture et les sciences. Le Canada a maintenant, par rapport à des pays semblables, le deuxième taux le plus élevé de diplômés d’études secondaires et le taux le plus élevé de diplômés d’études collégiales.

Le Canada se classe également très bien sur deux nouveaux indicateurs ajoutés cette année : l’équité dans les résultats d’apprentissage, et le rendement des écoles désavantagées.

L’indicateur de l’équité dans les résultats d’apprentissage mesure l’écart entre les notes obtenues dans les épreuves de lecture par les élèves et étudiants nés canadiens, qui parlent à la maison la langue du texte à lire (c.–à–d. l’anglais ou le français), et les canadiens de deuxième génération, nés dans le pays, qui ne la parlent pas chez eux. Le Canada obtient un « A ». Il est classé deuxième, après l’Australie, mais l’écart entre les notes de lecture au Canada est de moins de la moitié de ce qu’il est chez le pays suivant, le Royaume–Uni.

L’indicateur du rendement des écoles désavantagées mesure la différence constatée dans les notes de l’épreuve de lecture entre les élèves de 15 ans des écoles les plus désavantagées et ceux des écoles les moins désavantagées. Au Canada, la différence est de 31 points – l’équivalent d’environ 10,3 mois d’enseignement. Ce résultat vaut au Canada une note « A » et la troisième place derrière la Norvège (13 points) et la Finlande (23 points).

Les pays dont l’écart entre les résultats d’apprentissage est faible sont considérés comme ayant des systèmes éducatifs plus équitables et efficients.

Quels sont les points faibles du Canada?

Le Canada a besoin d’améliorer la formation en milieu de travail et l’éducation permanente. Sa population adulte a des capacités médiocres en lecture ainsi qu’en écriture, et elle compte une forte proportion de personnes de faible niveau dans ce domaine pour pouvoir travailler. Le Canada obtient un « C » et se classe 10e sur 15 pays semblables pour l’indicateur mesurant la participation des adultes à l’éducation non formelle liée à l’emploi.

Le Canada n’est pas non plus aussi performant qu’il devrait l’être en ce qui concerne les compétences de très haut niveau. Il compte relativement peu de titulaires de doctorats et de diplômés en mathématiques, sciences, informatique et génie. Avec un plus grand nombre de diplômés extrêmement qualifiés dans ces domaines, il pourrait s’améliorer sur le plan de l’innovation et de la productivité – et, en fin de compte, offrir à tous les canadiens une qualité de vie supérieure et durable.

Cette place « en milieu de peloton » du Canada pour son taux de réussite dans les études universitaires pourrait être le signe que le rendement financier de son investissement dans l’enseignement universitaire en est, tout au plus, au même point. Beaucoup d’autres pays (et leurs habitants) obtiennent de bien meilleurs rendements pour leurs investissements dans le troisième cycle.

Bien que le bilan comparatif l’ait ignoré à cause du manque de données et de problèmes de mesure, il y a, au Canada, un « obstacle lié à la reconnaissance de l’apprentissage ». Cela veut dire que certaines personnes ont parfois des connaissances et des compétences non officiellement reconnues (faute de diplôme universitaire ou de certificat d’école de métier, de brevet professionnel ou autre) par les employeurs ou les établissements qui attribuent des titres de compétence. Les personnes qui ont, antérieurement, fait leur apprentissage par le travail et la formation se heurtent, elles aussi, au manque de reconnaissance de leurs acquis, tout comme celles qui passent d’un établissement secondaire à un autre ou, dans le cas des professions pour lesquelles il faut un permis de pratique, d’une province à une autre.

Éducation et compétences

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